Envie d'écrire. Je n'ai pourtant rien à dire cette fois. Sans "rimes". Sans rien. Juste écrire. Pour ne rien dire. Ou pas. Juste que. Parfois. Je me sens bête. C'est vrai. Parce que je me dis que j'ai des réactions complètement débiles. Une vraie gamine. Parfois. Je me dis que ma tête ou mon coeur je ne sais pas. Ne réagissent pas comme j'aimerai qu'ils le fassent. En fait. Le décalage dont je parlais hier. C'est pas entre vous et moi qu'il est. Mais entre moi et moi même. Entre ce que je suis et ce que j'aimerai être. Ce que j'aurai aimé être plutôt. Parfois. J'ai l'impression d'être devenue une de ces put*** de fille gâtées que je hais tant. Alors qu'au fond.. Ce n'est pas exactement ce que je ressens. Ce n'est pas que j'envie la vie des autres. C'est juste que j'ai honte de la mienne quand je vois la leur. C'est pas que je suis jalouse. C'est que ça me fait me rendre de ce que j'ai perdu. Le décalage est là. Tout se fait sur ces quelques mots. Là où vous avez des anecdotes à raconter. Des petites histoires. Une sortie entre amis. Une fête. Un week-end chez des potes. Chez moi c'est un vide. Et en fait. Je ne peux faire autrement qu'accepter que ce vide je l'ai créée moi même. Comme une brave bête. Je l'ai créée. Mais je veux le remplir. Parfois. J'ai l'impression que je m'en sors. Enfin. Ce n'est pas une impression d'ailleurs. Je m'en sors. Doucement. Grâce à vous qui m'avez soutenu avec vos mots. Grâce à Toi. Qui a été là et est restée malgré tout. Parfois. Je m'en veux aussi. Parce que après tout ce que Tu a fais pour moi. Je n'arrive pas à être toujours forte. Parfois. Les faiblesses me rattrapent. Puis elles repartent. Plus ou moins vite. Je crois que je suis en transition. Forte et fragile à la fois. Plus fragile que forte c'est vrai. Je vous l'accorde. Je Te l'accorde. Mais je m'en veux. Oui. Pas de cette faiblesse. Mais de ces réactions que je ne contrôlent pas. Parce que quand je suis contente pour vous. Pour Toi. Une partie de moi reste bloquée. C'est cette partie là de moi que je hais. Cette partie égoïste. D'une possessivité inacceptable. D'une jalousie impardonnable. Envieuse. Susceptible. Et rancunière à souhait. Je la hais. Comme jamais. Alors je tente de l'oublier. Mais je peux pas. Je l'enfouie au plus profond de moi même. Je la fais se taire. Autant que je le peux. Autant qu'elle le veux. Mais parfois. Comme ce soir. Elle a besoin de se montrer cette sal***. Je la hais. Elle plus que personne. Elle plus que tout. Je la hais. Comme j'ai jamais haïs. Parfois. Je ne me reconnais pas. Quand cette partie de moi se fait ressentir. J'ai honte. J'ai peur. J'ai mal. Et pourtant.. Au fond.. Je sais que ce n'est pas moi.. Mais les autres.. Mais vous.. Mais Toi..
Comment pouvez vous le deviner..
MAYBE.OU PAS
on (je?) peut pas te récrire Ton passé c'est sur .. mais peut être faire que Ton présent et Ton futur ne soient pas vide comme ça .. essayer en tout cas ..
y'aura toujours des soirs qu'on contrôle pas
toujours cette sensation d'être quelqu'un de totalement con
même si ce n'est pas le cas .. c'est peut être dans nos personnalités toujours douter de sa propre valeur .. c'est peut être pas un mal parfois fin bref
faudrait trouver le juste milieu quoi .. ouep' facile à dire
surtout que vlà mes mots ne servent à rien tant pis
ne T'en veux pas d'pas aller tellement bien parfois
encore moins de ces pensées
je trouve qu'elles sont logique fin à mon avis dans Ton cas on penserais tous pareil
on s'rend pas compte parce qu'on le vit
pour nous c'est banal les sorties et tout ..
fin bref ... on peut ptet pas tt à fait comprendre ce que Tu ressens parce qu'on le vit pas mais quand même .. fin bref voilà ...
on l'a tous plus ou moins ressentis une fois ..
parce que quand T'as des amis
y'a toujours des moments où isls ont plus là
sur que c'est mieux que de ne pas en avoir du tout mais vlà
bref
j'me la ferme hein