Juste que je reste hallucinée par le nombre de gens. Et de jeunes en particulier. Qui se font encore et toujours. Et de plus en plus. Avoir par ces saloperies de came et de dope. Tout ça parce que c'est soit disant "rien de grave". Mais bordel. Bien sûr que si que c'est grave. Ca vous fout une vie en l'air vous comprenez ça ? Oui. La vie est difficile. Oui. Ca va pas souvent bien. Oui. La société dans laquelle on vit aujourd'hui ne fait pas grand chose pour aider celles et ceux qui en ont besoin. Oui. Oui. Et oui. Je suis d'accord. Mais ces merdes ne sont pas votre solution. Elles ne sont pas une solution tout court d'ailleurs. Ni la votre. Ni celle de vos potes. Ni celle de vos voisins. De vos parents ou autre même. Elles ne sont rien d'autre qu'un fout la merde dans votre vie. Et dans celle de votre entourage également. Je sais bien que quand ça va pas. Ca aide. Ca fait du bien un court instant. On ne pense plus. On n'entends plus. On est ailleurs. Oui. Ailleurs. Mais qui a dit que cet Ailleurs était meilleur ? Qui ose dire ça ? Qui se permet de penser ça ? Que celui ou celle dont c'est le cas aille voir les situations dans lesquelles ces saloperies ont pu mettre certaines personnes. Je ne parle même pas de tout ces gens qui chaque jour crèvent d'overdose. Ou de manque. Oui. Crever. Parce que ce n'est pas mourir. Désolée. On meurt. Dans la dignité. Ces gens là n'ont pu cette dignité depuis bien longtemps. Depuis la première fois où ils ont touché à ce genre de choses. Parce que aller vendre son corps. Parce que aller faire la manche. Parce que se mettre à genoux aux pieds d'un dealer. Pour avoir le droit à sa dose quotidienne. Je ne vois pas où est la dignité là dedans. Mais c'est pourtant leur quotidien. Et c'est le quotidien de toute personne qui se tente à ce genre de merdes. Quoi ? Pas à vous ? Ah bah non. C'est vrai. C'est comme la maladie. Les accidents de voiture. Les viols. Ca ne touche que les autres c'est ça ? Vous vous êtes invincibles. Plus fort que ça. Plus fort que tout. Vous arrêtez dès que vous le voulez. Oui. C'est ça. Je vous met au défi de ne plus toucher à rien pendant un mois. Et on verra après. Parce que je suis sûre que les trois quarts de vous qui êtes consommateurs de tout ça ne relèveraient pas ce putain de défi. Parce que je sais ce que c'est. Parce que comme vous, j'ai cru ce genre de choses. Parce que on est tous les mêmes. Tous plus forts les uns que les autres. Tous plus cons les uns que les autres. Personnellement. Aujourd'hui. Je peux dire que les personnes que j'admire le plus. C'est le peu de gens et encore une fois de jeunes en particulier qui ont été et sont capables de construire leur vie sans avoir le besoin de ces cachetons. De ces snif. De ces joints. De ces shoots. Ces gens là sont admirables oui. Pas nous. Pas nous qui sommes tombés dans le piège à cons de cette société. Parce que eux, je les respecte plus que tout au monde. C'est eux qui sont forts. Eux. Eux. Eux. Mais malheureusement. Ils sont trop peu...

Il y a dans la vie de tous les jours, ces petites attaques méchantes et inutiles qui font de notre monde un enfer plutôt qu'un paradis. Et puis, il y a les grosses bavures de plume, les pâtés électroniques, en l'occurrence, qui épouvantent ou doivent épouvanter tout un chacun.

C'est le cas de cette nouvelle assez affolante et qui mérite de faire parler d'elle : L'administrateur de Bloguez.com est un homophobe acerbe. C'est tout du moins la conclusion qu'en font les rédacteurs de SOS Homophobie. En se basant sur quoi ?

Sur l'article 6, décrivant les comportement intolérables sur leur plateforme de blog.

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